Demeure présidentielle

"Je désire m'entretenir avec la présidente de l'union en vidéo conférence je vous prie."

"Bien monsieur le président."

"Monsieur a t-il besoin de quelque chose d'autre ?"

"Non, ça ira Alfred..."

"Pardonnez-moi d'insister mais... les informations que vous avez donné sur votre sœur ne risque pas de la mettre en danger ? Même pire, de vous mettre en péril ?"

"Vous connaissez mes sentiments pour Layla. Ils sont profonds et purs. Cependant, cacher cette particularité n'aurait servi à rien. Voyez-vous, le père de ma jeune sœur est un politicien véreux. Il n'aurait pas perdu une occasion d'offrir sa fille en sacrifice pour me détruire et par la même occasion s'en prendre aux Plant's. Non, je ne regrette pas. À présent, et la conversation a été enregistrée, la présidente sait qui est Layla et n'osera pas lui faire de mal. Elle lui sera bien trop précieuse à l'avenir pour tenter quoi que ce soit contre elle dans le but de me faire du mal."

"J'ai bien peur de ne pas comprendre monsieur."

"Si vous n'êtes pas content attaquez nous, vous prouverez que vous n'êtes pas si pacifiste que cela. Ce sont ses mots. Elle veut que nous ayons le mauvais rôle dans cette affaire. Si je venais à apprendre au monde entier la mort ou l'emprisonnement de ma sœur, toutes les nations en seraient indignées et elle serait décréditée. Bien évidemment, c'est ce que je souhaite. Mais pas en utilisant Layla."

"Puis-je vous aider dans cette tâche qui me semble bien périlleuse ?"

"... Oui Alfred, vous pouvez m'y aider. Je veux que vous demandiez au chef des armées un, voire deux, soldats dont il ne peut douter de leur loyauté. J'ai une mission particulière à leur confier."

"Bien monsieur, je m'y hâte."

Encore une matinée d'entraînement acharné, et de remise en place de quelques petits imprudents envers elle. Ayana aurait continué son programme d'entraînement quotidien si un officier n'était pas venu l'accoster et lui annoncer qu'elle était convoquée à la résidence du président des Plants.
Eh bien, voilà qui aurait au moins le mérite de diversifier un peu sa journée. Laissant l'officier la conduire à une voiture allant l'emmener voir le chef suprême actuel des colonies, Ayana, assise restait calme, inexpressive et songeuse.

Qu'est ce qui pouvait bien pousser une personne comme le président des Plants à la convoquer ? Aucune, elle était loin de donner envie à quelqu'un d'une telle envergure de se trouver dans la même pièce qu'elle.
Durant le chemin, la voiture prit au passage une autre personne, un militaire aussi à qui elle adressa un bref salut de la tête avant de retourner son regard dans son coin alors que le véhicule reprenait sa route vers sa destination initiale.

Un petit moment plus tard, ils arrivèrent enfin à la résidence. Décorations et taille de maison typiques des gens ayant du pouvoir, et de l'argent.
Elle ne connaissait pas bien le président actuel, mais elle s'en fichait éperdument, il lui avait demander de venir se présenter, elle s'exécuterait, tant que ce qu'on lui dirait semblerait correct pour la jeune femme alors que cette dernière et son camarade militaire entrèrent dans la résidence du président, attendant de rencontrer ce dernier.

"Vous avez été choisi pour assurer une mission bien délicate. J'espère avoir votre approbation, car il est essentiel que vous soyez en accord avec moi. Puis-je tout d'abord connaitre votre nom soldat ?"

C'était déjà bizarre à son arrivée ici, et cela l'était encore plus maintenant. C'était qui cet énergumène ? Normalement on lui dirait que c'est le président et qu'il faut bien se tenir, mais la, le type ne vous regarde absolument pas et vous parle et vous traite comme si il avait affaire à des hommes uniquement.
De quoi échauffer quelque peu Ayana devant ce manque d'attention et surtout sexiste dont venait de faire preuve le président.

"Vous avez été choisi pour assurer une mission bien délicate. J'espère avoir votre approbation, car il est essentiel que vous soyez en accord avec moi. Puis-je tout d'abord connaitre votre nom soldat ?"

Si il n'était pas président, elle l'aurait déjà saisit par le col et secoué pour qu'il la regarde et se rende compte de l'énorme bourde qu'il venait de commettre.
Au lieu de cela elle prit sur elle et respira un bon coup afin d'évacuer son énervement avant de parler.

"Ayana... Asuka."

Le ton était quelque peu grave et et la jeune femme n'accorda pas plus d'attention que ça à la réaction de ce type qui lui servait de président, qui devait se sentir un peu confus maintenant.

"Quelle est cette mission ?"

Cette voix n'était pas rude. Bien au contraire, elle avait une douceur particulière. Certes, il semblait y avoir du mépris dans ces paroles mais il y avait tout de même une délicatesse qu'on ne pouvait attribuer qu'aux femmes. Furtivement, il regarda le jeune soldat. Il avait de la poitrine, le visage fin, le corps avec de magnifiques formes. Il rêvait. Son majordome avait accepté de le laisser seul avec une femme ! Mais pas n'importe laquelle. La descendance de Shinn Asuka, l'homme qu'il aurait rêvé de rencontrer ! Pour éviter tout idée fausse, il faut préciser qu'il n'avait pas une très bonne opinion de ce dernier. Néanmoins, il était connu pour s’énerver très rapidement lorsqu'on le titillait. Un délice pour ce jeune Akito. Se rendant compte de la méprise, Akito arbora un magnifique sourire. Avec elle, il était sûr que la mission marcherait. L'une des qualités d'une femme étaient généralement la détermination à un terminer un travail bien fait. C'était parfait. Avec une grâce exagérée, le président invita la soldate à venir s'asseoir à son bureau. Il en fit de même et posa ses yeux sur la magnifique créature.

"Je vous prie mademoiselle de me pardonner pour cette méprise. Je ne pouvais me douter que le soldat qu'on m'enverrait serait une si admirable femme. Non pas que des pensées sexistes me poussent à croire que vous ne serez pas compétente mais parce que mon majordome refuse qu'une femme franchisse la porte de mon bureau. Il dit qu'elle m'empêche d'effectuer mon travail convenablement...Le croyez-vous ?"

Akito regarda plus attentivement le visage de la jeune femme. Elle avait les traits de son grand-père. Il devait être sexe plus jeune ce brigand parce que sa petite-fille était en train de le combler niveau beauté.

"Bien, j'aimerai que vous alliez sur Terre enquêter sur de possibles laboratoires. Votre ascendant, Shinn Asuka, avait fait, il y a longtemps, la macabre découverte de ces lieux. Vous devez donc savoir de quoi il s'agit. Je me trompe ?"

Etait-elle réellement sure qu'elle était bien de le bureau de la résidence du président des Plants ? Parce que la elle commençait sérieusement à se demander si on ne lui faisait pas une mauvaise blague, ce qu'elle n'aimait pas du tout.
Cet énergumène semblait le prendre à la rigolade, alors qu'elle avait mieux à faire que d'attendre pour exécuter les caprices d'une autre personne. Néanmoins elle choisit d'obéir pour l'instant, et s'installa dans une des chaises lorsqu'il l'invita à le faire.

"Je vous prie mademoiselle de me pardonner pour cette méprise. Je ne pouvais me douter que le soldat qu'on m'enverrait serait une si admirable femme. Non pas que des pensées sexistes me poussent à croire que vous ne serez pas compétente mais parce que mon majordome refuse qu'une femme franchisse la porte de mon bureau. Il dit qu'elle m'empêche d'effectuer mon travail convenablement...Le croyez-vous ?"

Sans blague, rien que devoir à la manière dont il la fixait, elle savait que ce type n'avait pas que des idées saines à son sujet. Elle ne répondit à cette question limite sans intérêt et resta impassible, attendant qu'il en arrive au sujet de sa présence ici.

"Bien, j'aimerai que vous alliez sur Terre enquêter sur de possibles laboratoires. Votre ascendant, Shinn Asuka, avait fait, il y a longtemps, la macabre découverte de ces lieux. Vous devez donc savoir de quoi il s'agit. Je me trompe ?"

La jeune femme plissa un peu les yeux, la il était en train d'attaquer un sujet sensible pour elle. Si l'ancêtre était facile à énerver, elle avait hérité de ce trait, mais qui ne se manifestait que si on parlait de sa famille justement.
Bien entendu qu'elle connaissait ces labos, les fichiers officiels en parlaient, et les dossiers laissés par Shinn lui-même traitaient encore plus en détail concernant un des cobayes en particulier.

"Des laboratoires d'extended. Des humains améliorés en les bourrant de drogue à un tel point qu'ils ne peuvent plus vivre sans. Je sais tout ça. Et vous pensez qu'il en existe encore aujourd'hui malgré les accords avec l'E.A.F. n'est ce pas ?"

Le ton était sec, mais le reste y était, tant que le président ne cassait pas du sucre sur le dos de son ancêtre elle pourrait se contenir.

HJ/ Excuse moi. Semaines de dingue depuis la reprise... .___.

"Des laboratoires d'extended. Des humains améliorés en les bourrant de drogue à un tel point qu'ils ne peuvent plus vivre sans. Je sais tout ça. Et vous pensez qu'il en existe encore aujourd'hui malgré les accords avec l'E.A.F. n'est ce pas ?"

"Oui, c'est bien cela. Néanmoins, je souhaite être honnête avec vous. Découvrir et sauver des enfants de l'emprise de l'alliance n'est pas le seul but de la mission. Je veux pousser la présidente à se ridiculiser à l'échelle internationale afin qu'elle arrête ce projet stupide d'installation militaire sur la lune. La vie du peuple est entre mes mains et je n'hésiterai pas à plonger d'autres pays dans la mélasse pour sauver le mien" Confia-t-il avant de se dresser de sa chaise.

Ainsi était la politique. Que celles ou ceux croyant que les politiciens étaient honnêtes et loyales étaient nés bien naïfs. Akito refusait de se laisser faire. La présidente les avait pris de haut, son peuple et lui, et ça, il ne lui pardonnerait pas ! Après tout, ce n'était pas dans son caractère de pardonner. Les trois Plant's détruites à cause des extrémistes naturels lui était encore en travers de la gorge bien que cela remonte il y a plusieurs décennies. Si elle le voyait, Lacus Clyne en serait malade... Cette femme avait été la pire présidente que le peuple n'est jamais connu. Bien sûr, elle avait été pour la paix et toutes les conneries d'amour et de compréhension... Mais voila où en était le résultat ! À peine morte qu'une tarée de l'alliance s'amusait à détruire cette paix si fragile. Conclusion de tout ceci ? La politique de son arrière grand-père aurait été bien meilleure. Extrémiste certes, mais bien meilleure. Dans son monde, la violence n'aurait plus eu sa place. Chaque enfant savait d'avance pourquoi il était né et dans quel but. Si seulement il lui était possible de recommencer ce genre de projet...

"Cependant, je ne suis pas sûr que ce genre de laboratoire existe encore... Cependant, ne pas fouiller serait une grave erreur. Je vous donne carte blanche mademoiselle. Ah ! J'oubliais. Je serai peut-être amené à vous rejoindre pour récupérer une chose qui m'appartient. Je vous souhaite bon courage. À moins que vous aillez des questions ?"Dit-il en lui tendant la main.

"Plonger d'autres pays dans la mélasse" ? La, cela pourrait presque suffire à faire décrocher un sourire à la jeune femme. Mais si elle ne le faisait pas, c'était bien parce qu'elle désapprouvait quelque peu les procédés de son président, à force de jouer avec le feu de cette manière, il avait davantage de chance de déclencher une guerre totale que de simplement ridiculiser son homologue terrienne.

Visiblement le président à la grande bouche ne faisait plus grand cas de ce qu'avaient laissé Lacus Clyne et sa compagnie de héros de l'époque.
L'homme qu'elle avait face semblait prendre tout cela un peu pour un jeu, oh bien sur, si elle s'apercevait que ça dérapait, elle pourrait toujours l'envoyer se faire voir.

Mais la perspective de pouvoir sauver des enfants de ces labos de sauvages était une raison suffisante à la jeune femme pour accepter cette mission.

"Cependant, je ne suis pas sûr que ce genre de laboratoire existe encore... Cependant, ne pas fouiller serait une grave erreur. Je vous donne carte blanche mademoiselle. Ah ! J'oubliais. Je serai peut-être amené à vous rejoindre pour récupérer une chose qui m'appartient. Je vous souhaite bon courage. À moins que vous aillez des questions ?"

Ayana se leva et observa la main avant de la serrer, si il tentait quelque chose de pas sain, président ou pas, il aurait du mal à compter les phalanges encore intactes de sa main.

"Aucune question, tant que votre présence ne menace en aucune manière la bonne marche de cette mission. Je ne vous le cacherais pas, la possibilité que cela déclenche une guerre totale n'est pas à négliger, et je ne tiens pas à voir ce que mon arrière grand père et ses amis ont bâtit, s'effondrer parce que vous voulez garder la face. Sur ce, nous nous retrouverons plus tard peut être."

Lâchant la main du président, Ayana sortit rapidement de la résidence avant de respirer un bon coup à l'air libre, ce type était vraiment intenble pour elle. Enfin elle pu aller à la base se préparer, la mission ne tarderait pas à commencer, et elle ne pouvait pas se permettre de la louper.

Messages : 45 État Point d'Experience: (1500/1500)

Un hélicoptère venait de se poser en douce près de la demeure du président, des soldats c'étaient précipité vers cet appareil pour l'identifié, il s'agissait d'un homme d'affaire à la carrure époustouflante. Bien habillé, mallette à la main, garde du corps, il ne semblait manquer de rien. Il avait selon lui, quelque chose de très important à dire au président de ZAFT. Il était très manipulateur et avec quelques mots, il avait convaincu les gardes de le laisser rencontrer Akito. Ces hommes de mains qui étaient armée avaient déposé toute leurs armes à l'entré. Ils étaient donc inoffensif. De plus ils firent accompagné par une escorte de haute surveillance. Ils n'avaient aucune chance de s'échapper en cas d'attaque surprise. De toute façon, cela n'était pas dans son intérêt. L'homme d'affaire marcha donc avec sérénité dans la maison présidentielle. Il s'attendait à quelque chose de bien plus noble. Les président de ce siècle ne savait plus savourer leurs richesse comme il se le devait. En tous cas, ce qu'il avait à lui proposer allait sans doute changer tout ça... Il avait de quoi faire trembler toute la planète.

La proposition allait sans doute être très intéressante pour ZAFT mais également pour lui. Il voulait bâtir un pont qui annulerait les tensions diplomatique, unifier le monde ! Akito était son pilier, il avait besoin de lui. La plus puissante race de l'humanité, les coordinateurs. Il allait enfin rencontrer celui qui les dirigeaient tous. Un homme intelligent, futé et astucieux. Il avait entendu des rumeurs à son sujet. Même s'il était encore jeune, il ne pouvait refuser sa proposition. L'homme d'affaire arriva donc près de la porte, l'un des soldats le laissa entrer sans rien dire. Le président était seul, tant mieux, cette discutions allait pouvoir commencer rapidement. Les gardes restèrent derrière la porte au cas ou la situations tournerait mal. Ils n'étaient plus que deux dans la pièce.

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" Bonjour, Monsieur Akito, j'aimerais tout d'abord m'excuser d'être venu de la sorte sans vous prévenir avant. Je m'appelle Dole Clayman cependant j'ai quelque chose qui pourrait vous intéresser. "

Il se rapprocha du président avant de s'asseoir sur un des fauteuils. Clayman déposa alors sa mallette sur la petite table. Elle était blanche et verrouillé à l'aide d'un code ultra secret. Elle était conçu pour résister au balle ainsi qu'a toute détection. Une protection parfaite qui cacher bien des choses... Car à l'ouverture, Akito put remarqué une arme à feu. bien sûr il n'y avait pas de munition, mais elle avait échappé au scanner du poste de garde. Il y avait également un ordinateur intégrer. Dedans des informations concernant tout les pays du monde. Il y avait également un dossier top secret qui se penchait sur une nouvelle technologie d'armement. C'était tellement sophistiqué qu'il était même impensable que cela existe et pourtant... C'était réel ! Il mit ensuite une main dans sa poche intérieur et déposa une lettre juste à coté de la mallette. Il y avait à l'intérieur tout le projet de cet homme !

" Voilà ce que je vous propose... que diriez-vous de... "

(Mp envoyé !)

Il lui laissa lire la lettre tranquillement, Akito allait sans doute avoir besoin de la nuit pour réfléchir à cette proposition. L'homme se leva alors avant de reprendre.

" Pardonnez-moi, mais je vais me retirez à présent, je dois annoncer tout ça à la terre. Prenez la bonne décision. "

Clayman se retira alors de la pièce en n'oubliant pas de reprendre sa mallette. Il laissa la lettre au président et fut raccompagner dehors par les soldats. Qu'est-ce que cette lettre caché ?... Seul Akito semblait en mesure de le dire !

Finalement, cette femme n'était pas du tout son genre... Elle n'avait aucun peps, aucune volonté de se montrer féminine... voire douce. Non pas qu'une soldate devait être en mini-jupe, décolleté, et parler comme une cruche... Mais il y avait tout de même des limites à son insolence. Qu'elle l'aime ou non, c'était son problème. Mais il y avait tout de même une limite ! Il ne l'avait quand pas jeté sur la table pour abusé de sa personne ou désiré une fouille anale... pour qu'elle le traite de cette façon ! Non. Elle ne pourrait jamais lui plaire. C'était bien triste pour cette créature à qui il aurait pu tout offrir, mais c'était la vie. Une fois la jeune demoiselle partie, il se rassit à son bureau, positionna son fauteuil de manière à voir son jardin ainsi que la porte d'entrée. Ce n'est donc pas stupéfait qu'il vit entrer dans son bureau l'homme qu'il avait scruté derrière la fenêtre. Très bien habillé, il s'avança près de lui. Il lui fit une bien désagréable proposition. Figé devant la lettre, il l'a lu plusieurs fois avant de comprendre la signification de tout ceci. Non pas qu'il était idiot, non (il était tout de même le coordinateur à la tête des Plant's) mais le contenu l'inquiétait. Que devait-il faire ? En pleine réflexion, il refusa de diner, et même de boire son chocolat chaud. Inquiet, son majordome resta à ses côtés, à le regarder contempler inlassablement la feuille de papier. Ne voulant pas importuner son maitre, il attendit. Peut-être aurait-il besoin de lui dans un temps proche. Mais rien. Akito réfléchissait. Deux heures passèrent, puis 3 avant qu'il ne se décide à prendre une décision. Il ne pouvait pas laisser passer cette chance... Chance de sauver tout un peuple ! Et pas n'importe lequel ! Le peuple entier d'un monstre qui attendait dans l'ombre pour frapper. Subitement, Akito appuya sur une touche de son téléphone. C'était maintenant qu'il devait agir, et vite !

«Le plan 336 va être appliqué plus tôt que prévu. Vous savez ce qu'il vous reste à faire. Je vous laisse carte blanche.»

Après que la navette de Dearka fut pausé il ce dirigeait dans les couloir pour apporté Laylla au président , mes dabord il a déposa a l'infirmerie avec deux garde pour la surveillé.

"Que cet il passé ??"

"J'ai du l'assomé car elle ce débattai et ce mordait pour que je la lache...."

"Ha daccord ces une petite nerveuse alor,vous pouvez disposé on va attendre quel ce réveille puis on l'apportera au président"

Dearka fit le geste du salut et partit .

Akito se sentait bien mal. La tasse de chocolat à la main il regardait soucieusement par la fenêtre. Tout lui semblait bien flou. Il se revoyait encore ce matin, peu conscient de la dure journée qu'il allait avoir. Pourtant, elle avait bien commencé. Il avait tout d'abord eu un message de sa mère lui annonçant que Layla allait très bien malgré l'influence persistante de son père sur elle. Peu étonné par cette révélation, il en souffrit peu, voire pas. De toute manière, son choix de la récupérer aux mains de ce monstre avait été fait depuis bien longtemps et il n'attendait que le bon moment pour venir la chercher. Après une brève réponse pleine de tendresse, Akito se débarrassa de son boxer avant de rejoindre la salle de bain. Dans le miroir, il ne voyait qu'un homme fatigué. Voila à quoi ressemblait un dirigeant après quelques mois de fonction. Néanmoins, il faisait de son mieux pour ne rien faire paraitre. Toujours impeccablement coiffé et vêtu, il faisait bonne impression autour de lui lorsqu'il ne batifolait pas avec les demoiselles. Une annonce était venu le perturber, puis la discussion avec la présidente avait coupé court à tous ses espoirs de bonne entente avec les autres nations. Puis, la journée s'était terminée par une annonce d'un chef terroriste. Alors pourquoi ? La seule chose qu'il craignait de perdre n'était pas sa nation, son peuple, sa renommée, mais sa sœur ? Pourquoi était-il apeuré à l'idée qu'elle ne rejoigne pas Plant's ? Qu'elle explose avec les autres victimes ? Soudain, une femme ouvrit la porte brusquement. Elle n'eut pas à ouvrir la bouche. Il avait compris. Il fixa quelques instants l'heure sur sa montre. 19h26. Rapidement, il commanda deux repas. Du saumon avec du riz. Ce que préférerait sa sœur aux dernières nouvelles. Puis, il la rejoignit. Elle était allongée, auprès des infirmières, endormie, ou plus précisément assommée... S'il attrapait celui qui lui avait fait ça il se retrouverait castré à la minute où il croiserait son regard. Sans un mot, il la prit dans ses bras afin de l'emmener dans son bureau. Il voulait être là lorsqu'elle se réveillerait. Par prudence, il prit de quoi se défendre en cas d'agression de sa turbulente sœur. Alors qu'il ne cessait de la regarder un sourire attendrit, il entendit le téléphone sonner.

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